
Quand on décide de faire du bien, on le fait sans rien attendre en retour. Quand on décide de rechercher ses intérêts, on va droit au but.
La raison pour laquelle beaucoup de personnes rechignent à faire le bien est la peur du comportement future des bénéficiaires du bien qu’ils feront. Sur 100 personnes à qui vous auriez fait du bien, attendez-vous à ce que moins de 50 vous en soient reconnaissantes. L’adage nous enseigne ceci: « nourrit un corbeau, il te crèvera l’œil ».
Les attentes du bienfaiteur ne doit pas nécessairement être le bien en retour du bénéficiaire. Sinon, quel philanthrope volerait au secours des plus démunis? A 80 ans révolus, qui consacrerait sa vie à un nouveau né? Et ainsi de suite.
Si vous voulez faire du bien et vous ne souhaitez pas être déçu, limitez vous à penser au plaisir que vous aurez après avoir fait le bien; pas à la réaction du bénéficiaire. Est ce que vous vous sentez bien après avoir fait du bien? Si oui, continuez à faire le bien. Vous ne risquez pas être dessus.