
Dans ma culture, quand nous avons des bagages sur la tête et que l’avancée devient dure, ce à quoi nous pensons, tout de suite, c’est trouver un arbre et d’y accrocher le colis pour reprendre du souffle et des forces. En effet, l’arbre permet non seulement d’accrocher son fardeau de sorte à pouvoir le remettre seul sur la tête, mais aussi de profiter de son ombre.
En général, quelques minutes suffisent pour reprendre des forces et se remettre en chemin et atteindre son domicile.
Parfois, les défis du moment sont tels qu’il est impossible de poursuivre en l’état. Les relever exige de se donner du temps et donc de s’armer de patience. C’est parfois si pénible que nous pouvons trouver toutes les raisons d’abandonner.
Pourtant, à quoi ça sert de commencer si c’est pour abandonner par la suite? Dans la majeure partie des cas d’abandon pure et simple, vous réduisez à néant vos sacrifices tout en passant par perte et profit le temps de vos efforts.
Ce n’est donc pas parce que la vie, votre quotidien devient difficile qu’il faut abandonner et renoncer ainsi à une partie de son temps.
En prenant souvent un peu de recul, vous avez simplement parfois besoin de marquer une, voire des pauses, pour aller au bout de votre rêve.
Sachons donc prendre des pauses quand c’est nécessaire.