
Parfois, nous passons tout le temps à nous demander si ce que nous voulons faire marchera au lieu de nous poser la question de savoir ce qu’il faut faire pour que cela marche. Les approches sont différentes, les résultats également.
Parfois le défis réside bien plus dans notre façon d’approcher les situations que dans les situations elles-mêmes.
Il faut se rendre à l’évidence que nous sommes des êtres humains et qu’en tant que tels, nous pouvons essuyer un échec pendant notre parcours et dans notre. A moins de se perdre dans un sentiment dangereux d’infaillibilité ou de superbe puissance qui n’a de sens que la leçon que vous serez obligé de comprendre plus tard. Echouer, ne nous enlève en rien notre mérite. Sinon, que mérite celui qui n’a jamais rien essayé et donc n’a jamais échoué comparé à celui qui échoue à chaque tentative? Rien.
Considérons deux personnes, avec un background identique à tout point de vue. Prenons ensuite la première qui n’ose jamais tenter que que ce soit et la seconde qui est un abonné aussi bien aux essaies qu’aux échecs. Si je dois compter sur l’une des deux personnes, le choix est vite fait, pour une simple raison. Celui qui a l’habitude de tenter des coups, a dorénavant un background supérieur à l’autre. Il a accumulée un ensemble de connaissances dont les premier ne sauraient se prévaloir. La seconde personne a vécu et vit.
Vous avez certainement peur d’essayer des choses parce que vous estimez à tort d’ailleurs que les issues possibles à toute tentative sont l’échec ou le succès. Faux. Considérez chaque « échec » comme une opportunité d’apprentissage. Ce que vous apprenez en échouant vient nuancer et l’échec et le succès. Ce que vous apprenez, en cas d’échec, vous rapproche d’avantage du succès. Sachez-le.